Einstein Versus Bohr is unlike other books on science written by experts for non-experts, because it presents the history of science in terms of problems, conflicts, contradictions, and arguments. Science normally "keeps a tidy workshop." Professor Sachs breaks with convention by taking us into the theoretical workshop, giving us a problem-oriented account of modern physics, an account that concentrates on underlying concepts and debate. The book contains mathematical explanations, but it is so-designed that the whole argument can be followed with (...) the math omitted. Professor Sachs' story begins with classical and nineteenth century physics, describes the early discoveries in particle theory, and introduces the "old" quantum theory, which evolved into the quantum mechanics of the Copenhagen School. Such important ideas as the Einstein Photon Box experiment and the Einstein-Podolsky-Rosen Paradox, and Schrodinger's Cat Paradox are clearly expounded, followed by a completely fresh explanation of relativity in conceptual terms, showing how apparent paradoxes can be removed by Einstein's own interpretation, especially that of his later years. Professor Sachs gives a detailed comparison of the fundamentals of the quantum and relativity theories, suggesting how the contradictions might be resolved. In an epilogue, he makes suggestions, with reference to religious notions, Taoism, and Buber's theory of I-Thou, for generalizing Einstein's approach beyond physics. (shrink)

Proofs and Refutations is essential reading for all those interested in the methodology, the philosophy and the history of mathematics. Much of the book takes the form of a discussion between a teacher and his students. They propose various solutions to some mathematical problems and investigate the strengths and weaknesses of these solutions. Their discussion raises some philosophical problems and some problems about the nature of mathematical discovery or creativity. Imre Lakatos is concerned throughout to combat the classical picture of (...) mathematical development as a steady accumulation of established truths. He shows that mathematics grows instead through a richer, more dramatic process of the successive improvement of creative hypotheses by attempts to 'prove' them and by criticism of these attempts: the logic of proofs and refutations. (shrink)

Introduction générale à la philosophie des sciences du 20e siècle.

Nous présupposons le critère de démarcation de Popper d’après lequel un énoncé M est dit métaphysique s’il est empiriquement irréfutable. M sera qualifié de synthétique a priori si, de surcroît, il ne peut pas être expérimentalement vérifié. Nous démontrerons que le principe d’induction physique J* est synthétique a priori, J* étant défini — en gros — comme le principe suivant : toute théorie H qui est à la fois non-adhoc et empiriquement corroborée dans un domaine Δ courra, à l’avenir, moins (...) de risques d’être mise en défaut — dans Δ — qu’une hypothèse rivale infirmée par l’expérience. Bien qu’étant invérifiable tout autant qu’incritiquable, J* s’avère indispensable à la technologie ; ce que Popper avait d’ailleurs admis à plusieurs reprises. Nous critiquons ensuite le point de vue de David Miller selon lequel il n’est besoin d’aucune thèse métaphysique telle que J*, le critère de démarcation étant le seul principe requis par la science comme par la technologie. Dans ce même contexte, nous soutenons, contre Miller, que la science entretient un rapport positif, plutôt que purement critique ou négatif, avec la technologie. (shrink)

Nous présupposons le critère de démarcation de Popper d’après lequel un énoncé M est dit métaphysique s’il est empiriquement irréfutable. M sera qualifié de synthétique a priori si, de surcroît, il ne peut pas être expérimentalement vérifié. Nous démontrerons que le principe d’induction physique J* est synthétique a priori, J* étant défini — en gros — comme le principe suivant : toute théorie H qui est à la fois non-adhoc et empiriquement corroborée dans un domaine Δ courra, à l’avenir, moins (...) de risques d’être mise en défaut — dans Δ — qu’une hypothèse rivale infirmée par l’expérience. Bien qu’étant invérifiable tout autant qu’incritiquable, J* s’avère indispensable à la technologie ; ce que Popper avait d’ailleurs admis à plusieurs reprises. Nous critiquons ensuite le point de vue de David Miller selon lequel il n’est besoin d’aucune thèse métaphysique telle que J*, le critère de démarcation étant le seul principe requis par la science comme par la technologie. Dans ce même contexte, nous soutenons, contre Miller, que la science entretient un rapport positif, plutôt que purement critique ou négatif, avec la technologie. (shrink)

Es wird die Frage nach dem Ursprung des Konventionalismus aufgeworfen und ein Versuch ihrer Beantwortung unternommen. Die Entstehung des Konventionalismus wird auf das Versagen der philosophischen Grundlegung befremdender, aber auch empirisch erfolgreicher wissenschaftlicher Hypothesen zurückgeführt. Auch verdankt der moderne Positivismus seinen Aufschwung zum Teil der Unvereinbarkeit solcher Hypothesen mit herrschenden metaphysischen, bzw. religiösen, Weltanschauungen. Dies führt zum Versuch, die ontologischen Voraussetzungen wissenschaftlicher Theorien auszuklammern, ohne dadurch ihren empirischen Gehalt zu verringern. Im letzten Abschnitt wird dargetan, daß sowohl der moderne Positivismus (...) wie auch der Realismus in verschiedenen Aspekten der Kantschen Transzendentalphilosophie wurzeln. (shrink)